Ce glossaire a été réalisé par Richard BANDLER inventeur et découvreur de la PNL avec John GRINDER.
Vous trouverez ce glossaire à la fin de ses livres :
Microcomportements qui aident à déclencher et à indiquer quel système de représentation une personne utilise pour réfléchir. En plus des accès oculaires on peut considérer le ton de la voix et son rythme, les postures corporelles, les gestes et la respiration.
Processus qui consiste à associer un état interne avec un déclencheur externe (similaire à l’idée classique de conditionnement) afin que la réaction puisse être rapidement, voire parfois discrètement, provoquée.
Qui se rapporte à l’audition.
Cette expression est utilisée pour définir un comportement qui semble négatif ou problématique mais qui procure, en fait, des avantages à un autre niveau. Par exemple, fumer pourrait aider une personne à être plus détendue ou à donner une image d’elle particulière.
Structure de communication inconsciente dans laquelle les schémas de comportement d’une personne déclenchent des réactions spécifiques chez une autre personne.
Processus qui consiste à apprendre comment lire les réactions inconscientes non-verbales d’une autre personne dans une interaction dynamique, en mettant en corrélation des indices de comportement visibles et des états internes spécifiques. Capacité
Maîtrise de toute une gamme de comportements - le savoir-faire. Les capacités s’acquièrent en développant une carte mentale, qui nous permet de choisir et d’organiser des groupements de comportements. En PNL, ces cartes mentales prennent la forme de stratégies cognitives et de méta- programmes.
Structure dans laquelle un message peut être délivré, comme si quelqu’un d’autre l’avait énoncé.
Attitude physique et réactions que nous choisissons d’avoir pour interagir avec les autres et avec l’environnement.
C’est l’ensemble des conditions qui doivent être satisfaites pour atteindre un objectif positif et écologique. En PNL, un but spécifique est bien formulé s’il peut être
(1) énoncé en termes positifs, (2) défini et évalué d’après des critères sensoriels, (3) sous le contrôle de la personne qui désire atteindre le but, (4) conçu de manière à préserver les bénéfices secondaires de l’état présent et (5) suffisamment contextualisé pour respecter l’écologie externe.
Quand les croyances internes, les stratégies et les comportements d’une personne sont en parfait accord et orientés vers l’obtention d’un état désiré.
Le cadre concernant un événement spécifique. Souvent, ce cadre déterminera la façon dont une expérience ou un événement spécifique sont interprétés.
Les valeurs ou les normes qu’une personne utilise pour décider ou juger.
Généralisations fortement ancrées en ce qui concerne :
(1) la cause, (2) le sens, et (3) les limites dans :
(a) le monde autour de nous,
(b) notre comportement,
(c) nos capacités et
(d) notre identité. Les croyances ne
fonctionnent pas sur le même plan que la réalité ; elles servent à orienter et à
interpréter nos perceptions de la réalité, en les reliant à nos critères et à
nos systèmes de valeurs. Il est très difficile de modifier les croyances par une
approche logique ou rationnelle.
Organiser ou découper une expérience en parties, plus grandes ou plus petites. Ce découpage peut impliquer un élargissement vers un niveau d’informations plus étendues et plus abstraites. Ce découpage peut aussi impliquer un approfondissement vers un niveau d’informations plus précises et plus concrètes. Enfin, un découpage latéral implique de trouver d’autres exemples au même niveau d’informations.
Le contexte extérieur dans le quel s’opère notre comportement. Nous percevons notre environnement comme quelque chose qui est "en dehors" de nous. Il ne fait pas partie de notre comportement mais plutôt de quelque chose à quoi nous devons réagir.
L’ensemble des caractéristiques mentales et physiques à partir desquelles une personne agit à un moment donné.
Capacité de varier son propre comportement de manière à obtenir une réaction d’une autre personne.
Ce qui a rapport au goût ou au sens du goût.
Le sens de qui nous sommes. Le sens de notre identité structure nos croyances, nos capacités, ainsi que nos comportements en un seul système.
Processus qui facilite l’acquisition d’une nouvelle stratégie ou d’un nouveau comportement. Une nouvelle stratégie peut être mise en place grâce à une combinaison d’ancrage, de mouvements oculaires, de métaphore et "de pont vers le futur".
Ce qui a rapport aux sensations corporelles. En PNL, ce terme de "kinesthésique" s’utilise pour définir toutes sortes de ressentis incluant le toucher, les sensations et les émotions.
Modèle qui a été développé par John GRINDER et Richard BANDLER
il identifie des catégories de structures de langage qui peuvent être problématiques ou ambiguës.
Un niveau de programmation mentale qui détermine comment nous trions, nous organisons et découpons nos expériences. Nos Méta-programmes sont plus abstraits que nos stratégies mentales ; ils définissent l’approche générale d’un problème particulier plutôt que le détail de nos processus mentaux.
Penser à une situation ou à un phénomène sous une autre forme : une histoire, une parabole ou une analogie.
Observer et représenter les comportements performants d’autres personnes.
Hiérarchie interne dont chaque niveau successif est plus large et a plus d’impact sur le plan psychologique. Dans l’ordre d’importance décroissante, ces niveaux sont (1) identité, (2) croyances, (3) capacités, (4) comportement et (5) environnement.
Buts ou états désirés qu’une personne ou une organisation souhaite atteindre.
Qui a rapport à l’odeur ou à l’odorat.
Façon métaphorique de parler de programmes et de stratégies de comportement, indépendants. Souvent, les programmes ou "parties" s’organisent en une "persona" par laquelle on les identifie.
Processus qui consiste à se préparer mentalement à une situation future afin de s’assurer que le comportement désiré se manifestera, naturellement et automatiquement.
Perspective spécifique ou point de vue. En PNL, il existe trois positions fondamentales qui peuvent être exploitées dans la perception d’une expérience spécifique. La première position implique le fait d’expérimenter quelque chose à travers nos propres yeux, ce qui entraîne un point de vue à la première personne. La seconde position implique le fait d’expérimenter quelque chose comme si nous étions "dans les chaussures de l’autre" (à la place de l’autre). La troisième position implique le fait de prendre du recul et de percevoir la relation entre nous-même et les autres, d’un point de vue dissocié.
Mots (comme les verbes, les adverbes, les adjectifs) sélectionnés par une personne pour décrire un sujet. En PNL, on prend en compte les prédicats pour identifier le système de représentation qu’une personne utilise pour traiter l’information.
Quand une personne utilise prioritairement un des cinq sens de préférence aux autres pour traiter et organiser son expérience. Le système de représentation primaire influence un grand nombre de traits de personnalité ainsi que de capacités d’apprentissage.
Un modèle comportemental et un ensemble de capacités et de techniques explicites créés par John GRINDER et Richard BANDLER en 1975. Définie comme l’étude de la structure de l’expérience subjective, la PNL étudie les structures ou la "programmation" créées par les interactions entre le cerveau (neuro), le langage (linguistique), et le corps qui génèrent des comportements efficaces ou inefficaces. Les capacités et les techniques résultèrent de l’observation des modèles d’excellence relevés chez des experts dans divers domaines de la communication professionnelle, comme la psychothérapie, les affaires, l’hypnose, le droit et l’éducation.
Liens de confiance, d’harmonie et de coopération qui se tissent dans une relation.
Processus utilisé en PNL par lequel on sépare un comportement problématique de "l’intention positive" du programme interne ou de la "partie" responsable du comportement. Pour mettre en oeuvre de nouveaux choix de comportement, la partie responsable de l’ancien comportement prend la responsabilité d’utiliser de nouveaux comportements qui satisfont la même intention positive sans les inconvénients. Recherche transdérivationnelle
Processus qui consiste à rechercher, parmi les souvenirs stockés et les représentations mentales, l’expérience de référence de laquelle provient le comportement ou la réaction actuelle.
Qualités sensorielles spécifiques perçues par chaque sens. Par exemple, les sous-modalités visuelles comprennent la couleur, la forme, le mouvement, la luminosité, la profondeur, etc. Les sous-modalités auditives comprennent le volume, la hauteur de son, le rythme, etc. Et les sous-modalités kinesthésiques comprennent la pression, la température, la texture, l’emplacement, etc.
Un ensemble d’étapes mentales et comportementales utilisées pour atteindre un objectif spécifique. En PNL, l’aspect le plus important d’une stratégie est déterminé par les systèmes de représentation utilisés pour chacune de ces étapes spécifiques.
Ce sont les mots ou le langage utilisés pour décrire ou définir les représentations primaires sensorielles stockées dans le cerveau.
Cartes sensorielles (à la fois conscientes et inconscientes) utilisées par les gens pour organiser et diriger leur comportement.
Méthode utilisée par les communicateurs afin d’établir rapidement un rapport avec la personne avec qui ils communiquent, en harmonisant certains aspects de leurs comportements avec ceux de l’autre
"harmonisation ou effet miroir du comportement de l’autre". miroir
Les cinq sens
la vue, l’ouïe, le toucher (sensation), l’odorat et le goût.
Processus de chevauchement entre des systèmes de représentation, caractérisés par des phénomènes tels que les circuits "voir-sentir", dans lesquels ce que ressent une personne est déclenché par ce qu’elle voit, ainsi que les circuits "entendre-sentir" dans lesquels ce qu’une personne ressent est déclenché par ce qu’elle entend. Chaque modalité sensorielle peut être liée à une autre modalité sensorielle.
Processus de reformulation des prédicats d’un système de représentation à un autre.
Cette séquence, Test-Opération-Test-Exit, fut mise au point par MILLER, GALANTER et PRIBRAM ; elle décrit la boucle "rétroactive" de base, utilisée pour guider tout comportement.
Cette abréviation est utilisée pour noter la structure de toute expérience. Ce concept soutient que toute expérience doit être composée d’une combinaison constituée des quatre classes primaires de représentation V,A,K,O soit
V visuel,
A auditif,
K kinesthésique,
O olfactif/gustatif.
LA TEMPERANCE - IEPNL sarl - BP 12 - Combre - 63250 Chabreloche - France tel 04-73-94-27-76 - fax 04-73-94-27-14
Sarl au capital de 8 000 EUR - Siret 44029169800015 - APE 8559A Déclaré à la CNIL sous no 1049937.
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